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  • : Bonjour à tous, J’ai créé ce blog pour décrire la façon dont je ressens le besoin d’être soumis par une Femme. Ce sentiment me paraît difficile à expliquer. Je vais donc tenter de le décrire à partir de mes expériences, et des informations que j’ai récupérées lors de mes recherches. Je développerai ma conception de la relation Femme Dominante / homme soumis. Tous les commentaires seront les bienvenus, car ils me permettront de progresser dans ma recherche.
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Vendredi 20 août 5 20 /08 /Août 12:18

Je suis attiré depuis l'âge de 23 ans par la soumission, et j'ai le double de cet âge aujourd'hui.

Surpris par cette attirance envers la Femme Dominante, j'essaye d'en comprendre les raisons.

Je commencerai donc par toute première sensation.

 

Lors d'un traitement médical, suite à une tendinite au genou, je devais subir dix séances de soins.

Le Docteur était une Femme d'une quarantaine d'années, agréable à regarder.

Elle exerçait une profession libérale, et gérait seule son cabinet.

Nous étions donc uniquement tous les deux à chacune des séances.

Elle s'est occupée de moi lors de ces séances, tout en me parlant très régulièrement.

J'étais à l'époque très timide, et je parlai peu.

Elle, de son coté, me parlait beaucoup, et progressivement, s'est mise à me raconter ses aventures avec ses anciens petits amis.

Je n'ai pas fait attention au début, car j'étais surtout content de ne pas avoir à prendre la parole.

Vers la 7ème ou 8ème séance, j'ai commencé à gamberger.

Je me suis dit qu'elle souhaitait peut être une relation avec moi, peut-être même dans son cabinet.

Cette idée m'a particulièrement excitée, et je me suis dit que je devais tenter ma chance.

 

Finalement, c'est à la fin de la dernière séance que je lui ai annoncé que j'aimerais couché avec elle.

Je n'étais évidemment pas très doué pour ce genre d'exercice, mais j'avais de la détermination.

Il faut dire qu'à l'époque, j'étais pratiquement puceau, n'ayant eu des rapports sexuels qu'avec 2 ou 3 prostituées.

La Femme (le Docteur) m'a répondu qu'elle avait un conjoint, et qu'elle était désolée si elle m'avait induit en erreur.

Avec le recul aujourd'hui, je pense qu'elle a eue un rôle très ambigüe, et qu'elle en était consciente.

Je ne saurai pas dire, par contre, qu'elles étaient ses intentons réelles lors de nos séances.

 

J'ai ressenti un sentiment de honte, et j'ai essayé de le cacher, en répondant que ce n'était pas grave du tout.

Je lui ai donc dit en revoir, et je ne l'ai jamais revu.

 

Quelques temps plus tard (peut être un mois), j'étais allongé sur mon lit pour me reposer un peu.

Lors de mes pensées, j'a imaginé la Femme Docteur m donnant une fessée sur les genoux.

Je ne sais pas comment cette idée est arrivée dans ma tête.

En tous les cas, j'ai ressenti un immense plaisir.

J'aurais aimé que cela soit vrai.

Par la suite, la fessée m'a toujours beaucoup attirée. Je me suis ensuite renseigné sur les relations de soumission et de domination.

Mais le point de départ était là, et je ne sais pas comment cela s'est déclenché.

 

Par Soumis à disposition - Publié dans : Ma personnalité dans la soumission
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Jeudi 19 août 4 19 /08 /Août 22:19

Deux semaines après ma soirée avec Valérie, je reçois un message intitulé "Notre rencontre au cinéma".
Avant même d'ouvrir le message, je comprends que c'est le signal que j'attendais.
J'avais perdu un peu espoir, car je pensais recevoir une réponse plus rapidement.

    Bonjour,
    j'ai décidé de reprendre contact.
    Vous n'êtes pas obligé de me répondre.
    Faites le seulement si vous souhaitez me revoir.
    Votre franchise m'a séduite, ne me décevez pas sur ce plan.
    A bientôt peut être.

Le temps de relire plusieurs fois ce message, je décide évidemment d'y répondre,
mais j'attendrai 2 jours avant d'envoyer ma réponse, car je ne veux pas donner l'impression de prendre ma décision sans y avoir réfléchi.

    Bonjour,
    je suis heureux d'avoir reçu votre Email, et c'est avec grand plaisir que j'aimerais
    vous revoir.
    Bien entendu, je me tiens à votre entière disposition.
    J'espère recevoir prochainement de vos nouvelles.
    Votre dévoué.   

Sa réponse arrive rapidement

    Parfait !
    Donnez-moi votre numéro de téléphone portable, que je puisse vous joindre facilement.

Je le lui donne, toujours par Email.
Cette fois, je sens qu'un point de non-retour est atteint.
Cela m'excite terriblement, et m'inquiète aussi.
Je commence à me poser beaucoup de questions sur toutes les conséquences que peut entraîner une
telle relation, et la confiance que je peux accorder à une personne que je ne connais presque pas.
L'excitation l'emporte sur tout le reste, et j'espère qu'elle m'appellera bientôt.

Je ne suis pas déçu, car elle m'appelle 20 minutes plus tard.
Je réponds à la 3ème ou 4ème sonnerie.

 - Allo ?, dis-je.
   - Bonjour, c'est Valérie. Je ne vous dérange pas ?
 - Non, pas du tout. Cela me fait très plaisir de vous parler au contraire.
   - Vous pouvez parler librement ?
 - Oui tout à fait, je suis seul.
   - Très bien. Les hommes changent souvent d'avis, c'est pour cela que j'ai pris du temps avant de vous contacter. Qu'en pensez-vous ?
 - Il vaut mieux se donner du temps pour être sûr.
   - Non, je vous demande si vous partagez mon avis sur l'inconstance des hommes.
 - Je pense que cela dépend des personnes.
   - Ah bon ? 
 - Certains savent ce qu'ils veulent, d'autres hésitent. Les femmes aussi, sûrement.
   - Vous faites partie de quelle catégorie ?
 - Il m'arrive souvent d'hésiter; mais quand je suis décidé, je ne change plus d'avis.
   - Mmm ... Vous avez mis 2 jours à répondre à mon message. Vous n'étiez pas sûr ?
 - Si, mais j'ai préféré être certain avant de vous répondre.
   - Donc, vous n'étiez pas sûr ?
 - Si, sur le moment. Je voulais seulement m'assurer que cette décision résisterait au temps.

Je ne me rends pas compte, qu'au cours de la discussion, le ton est légèrement monté.
Elle m'a placé plusieurs fois en porte à faux, et je pense que cela m'a stressé.

   - J'aimerais entendre plus de respect dans vos propos. Je suis pour une discussion ouverte, et vous pouvez
me parler librement. Cependant, j'attends de votre part un peu plus de dévotion.
 - Veuillez m'excuser, je n'aurai pas dû parler de cette façon. C'était une faute.
   - C'est mieux comme cela.
 - Puis-je vous poser une question, demandai-je ?
   - Oui, je vous ai dit que vous pouviez me parler librement.
 - Comment dois-je vous appeler ? Par votre prénom ?
   - Pour le moment, vous pouvez m'appeler "Madame".
 - Je peux aussi vous appeler Maîtresse ?
   - Non.
 - Bien Madame, que dois-je faire pour vous montrer ma soumission ?
   - Ce n'est pas votre problème. C'est à moi de vous dire ce que vous devez faire.
 - Bien Madame.
   - Détendez-vous. Ne soyez pas inquiet, je vous guiderai. Vous n'avez aucune raison d'avoir peur.
 - Merci Madame, j'essaierai d'être à la hauteur.
   - Tout d'abord, je souhaite que vous soyez gentil avec moi, et j'aime que l'on me fasse des compliments.
 - Bien Madame.
   - Ensuite, lorsque vous vous adressez à moi, par la parole ou par écrit, je souhaite que vous montriez du respect; et vous devez toujours me vouvoyer. Maintenant, je vais utiliser le tutoiement, mais vous continuerez à me vouvoyer. Est-ce bien compris ?
 - Oui Madame. Je vous dois le respect et vous êtes très belle.
   - C'est bien, je vois que tu as compris.
 - Merci Madame.
   - Tout d'abord, j'ai constaté que lors de dernière rencontre que tu avais un peu d'embonpoint.
 - Oui Madame, j'ai quelques kilos en trop.
   - C'est parce que tu te laisses aller, tu n'es pas suffisamment rigoureux, et tu choisis la facilité.
 - Je fais du sport, mais je n'élimine pas facilement les graisses.
   - Ne cherche pas d'excuses. Tu as besoin d'être pris en main pour progresser.
 - Oui Madame, j'ai sûrement besoin d'un soutien pour faire des efforts.
   - C'est évident. Tu dois faire des exercices physiques et mieux surveiller ta nourriture. Je t'apprendrai à y parvenir.
 - Merci Madame.
   - Il est très important de respecter ton corps, d'avoir une jolie silhouette et une hygiène parfaite.
J'ai constaté la dernière fois que tu étais propre et je t'en félicite. Mais comprends-moi bien, je veux que tu sois irréprochable dans ce domaine. Ton corps et tous tes orifices doivent être régulièrement entretenus. Tu devras surveiller la propreté de tes dents, tes oreilles, le contour des yeux, les poils du nez que je ne veux pas voir dépasser, et bien entendu ton anus devra toujours être propre et sentir bon.
 - Bien Madame. Dois-je aussi raser mes poils ?
   - Ton visage doit toujours être rasé, ainsi que les poils sous les bras, car cela sent mauvais.
 - Dois-je raser d'autres parties de mon corps ?
   - Non. Et pour ce qui concerne la petite chose qui pendouille entre tes jambes, nous y reviendrons plus tard. Est-ce bien clair, et as-tu des questions à me poser ?
 - C'est très clair, Madame. J'ai une question, mais je ne voudrais pas qu'elle soit interprétée comme un reproche
,car ce n'est pas le cas.
   - Quelle est ta question ?
 - En fait, je m'attendais à une conversation plus dirigiste, avec des ordres à exécuter immédiatement.
Je pensais que vous alliez m'imposer votre autorité de manière disons plus physique.
   - Est-ce ce que tu souhaitais ?
 - Je ne sais pas Madame. J'étais un peu anxieux, et je ne savais comment vous comptiez prendre en main la situation.
   - Tu m'as dit que tu avais fait une mauvaise expérience avec la sodomie la première fois. Je ne veux pas te précipiter. Je crois que tu es capable de faire beaucoup de progrès. Pour cela, il est essentiel de bien se comprendre. Je t'ai déjà dit que tu pourrais toujours me poser des questions. Tu devras le faire avec respect et retenue, et ne pas y avoir recours trop souvent, bien évidemment. Mais je veux que ton esprit soit clair, comme ton corps doit être propre. C'est une question d'hygiène et d'équilibre. Ce n'est que de cette façon que tu pourras te laisser guider.
 - Merci Madame pour ces explications. Le dialogue me paraît essentiel, et je suis conscient du respect que je dois à votre personne. Je dois mériter votre confiance.
   - Parfait. Nous aurons d'autres discussions, car j'aurai pas mal de questions à te poser, et je tiens à procéder par étapes. J'aimerais que tu réfléchisses au besoin que tu peux ressentir d'être dominé par une femme.
Comment cette idée t'est venue à l'esprit la première fois, et pour quelles raisons tu éprouves de l'attirance.
Je ne te demande pas de me répondre maintenant mais de commencer à y penser.
 - Bien Madame, je ferai cet effort.

   - Maintenant, dis-moi si tu peux brancher ton téléphone sur haut-parleurs en fonctionnement mains libres ?
 - Oui Madame.
   - Peux-tu faire un peu de bruit, es-tu gêné par les voisins ?
 - Si je ferme la porte de la chambre et du salon, je peux m'installer dans la chambre sans problème.
   - Fais-le et mets-toi sur haut-parleurs.

Le temps de me préparer, avec le coeur qui se met à battre plus vite, et je reprends la conversion.

 - Madame, je suis prêt.
   - A poil, et vite
Je commence à me déshabiller.
   - Racontes-moi ce que tu fais, je veux tout savoir.
 - J'ai enlevé mon T-shirt, Madame.
   - Dépêche-toi, sale garce, ce n'est pas assez rapide.
 - Oui, Madame...   Je viens de retirer mes chaussons et mes chaussettes.
   - A poil, j'ai dit. Tu as 3 secondes pour être prêt.
Je retire ce qu'il me reste à toute vitesse.
 - Voilà Madame, je suis tout nu.
   - Ce n'est pas trop tôt, tu n'es pas très rapide. Dans quelle position es-tu ?
 - Je suis debout, Madame.
   - Mets-toi à genou sur le sol, le dos bien droit, les mains croisés derrière la nuque.
Je m'exécute.
 - Je suis prêt, Madame.
   - Tu as l'air essoufflé, que se passe-t-il ?
 - J'essaye de vous obéir le plus rapidement possible, et je crois que j'ai le trac aussi.

Madame Valérie éclate de rire avec mépris.

   - Voyez-vous ça ? C'est parce que je ne suis pas à coté de toi pour te corriger que tu te crois tout permis ?
 - Pardon Madame, si je vous ai offensé, dis-je, toujours en position à genoux.
   - Tu traînes car tu n'es pas à l'écoute, tu n'es pas assez concentré.
 - Je vous demande pardon, Madame.
   - La ferme. A partir de maintenant, tu n'as plus le droit de me couper la parole. Cela t'appendra à bien écouter ce que je suis en train de dire. Est-ce bien compris ?
 - Oui, Madame.
   - Répète ce que je viens de dire.
 - Je ne dois pas vous couper la parole, et je dois bien être à l'écoute.
   - C'est déjà mieux. Maintenant, je sais que tu m'écoutes. Et si je te disais de sauter sur place tout en aboyant, tu le ferais immédiatement. Pas vrai ?
 - Oui, Madame, je vous obéirai à la lettre.
   - Je vois que tu es beaucoup plus réceptif quand tu es à genoux. Tu aimes cette position ?
 - Cela fait un peu mal aux genoux Madame, mais j'apprécie de vous obéir.
   - Tu y mets de la bonne volonté, mais cela ne suffit pas. Crois-tu mieux savoir que moi, ce qui est bon pour toi ?
 - Non, Madame.
   - Je veux te l'entendre dire à haute voix.
 - Madame, vous êtes mieux placé que moi pour me dicter ma conduite.
   - Bien. Je veux que tu écrives cette phrase 500 fois sur un carnet vierge. Ce sera ton "cahier d'apprentissage".
 - Ce sera fait Madame.
   - Ecris immédiatement cette phrase quelque part pour t'en souvenir. Je t'autorise à te lever sur tes jambes.

Je m'exécute.

 - Je suis prêt, Madame.
   - Mets-toi à quatre pattes sur ton lit, les jambes bien écartées.
 - Je suis en position, Madame.
   - Avec ta main droite, claque ta fesse droite 5 fois
Je m'exécute
   - Je n'ai rien entendu. Recommence coté gauche, et claque-moi çà bien fort.
J'appuie bien fort, la paume de la main légèrement courbée pour que cela fasse du bruit.
   - Cela te plait, cochonne ?
 - Oui Madame
   - Alors dis le, ne fait pas ta timide.
 - Cela me plait beaucoup, Madame, d'être une cochonne obéissante
   - Tu es plus à l'aise de la main droite ou de la gauche ?
 - De la main droite, Madame.
   - Suce 2 doigts de ta main droite, index et majeur. Et fais du bruit que j'entende bien.
J'enfonce mes 2 doigts dans la bouche en faisant des bruits de succion.
   - C'est suffisant. Maintenant, mouille-toi bien la rondelle. Dis-moi des cochonneries, dis-moi que tu aimes ça; Cherche à me séduire, à m'exciter. Si tu veux avoir ta chance avec moi, fais sortir la garce qui est en toi.
 - Je mouille ma rondelle de mes 2 doigts humides, Madame. Je fais un mouvement circulaire pour assouplir cette membrane bien chaude et très souple. Je la sens bien gourmande, on dirait une bouche charnue qui veut m'attirer en elle.
Je mouille à nouveau mes doigts qui sont devenus tout secs, et je les replonge entre mes fesses. C'est bon, Madame.
 - Je ne suis qu'une sale traînée, une garce, une vilaine petite cochonne, avec un cul de salope.
   - Enfonce tes doigts dans ton trou; fais les entrer et sortir comme si c'était mes doigts.
 - Merci Madame, c'est délicieux. Ils s'enfoncent comme dans une motte de beurre. J'aime ressentir vos doigts me pénétrer. Je suis une salope obéissante et soumise. Mon cul embrasse vos doigts de reconnaissance, il est fier d'être à vos ordres et prêt à vous servir. Il s'agite  d'avant en arrière pour mieux vous accueillir.
Je suis le petit toutou à Madame, je fais ce qu'elle me dit et je suis fier d'être sa chose.
   - Bon, c'est pas mal. Est-ce que tu as joui ?
 - J'ai pris beaucoup de plaisir, Madame, mais je n'ai pas éjaculé.
   - Je ne parle pas d'éjaculation, ni de la petite chose entre tes jambes. As-tu ressenti une vague de plaisir qui te surpasse ?
 - Non, Madame, mais j'ai été excité.
   - Ce n'est pas suffisant, je veux que ton anus soit ton véritable sexe, qu'il t'apporte le véritable orgasme de la femelle que tu es, lorsque tu es pénétré. En fait, je crois que ton esprit est trop accaparé par ton zizi.
C'est normal pour le moment. Je t'ai dit tout à l'heure que nous reviendrions plus tard sur ton petit organe. Je l'appelle zizi, car c'est un mot qui convient bien. Je ne souhaite pas t'en priver, car je ne souhaite pas te transformer en femme. Par contre, je veux que tu deviennes ma femelle homme. J'attends de toi que tu es le comportement d'un homme, c'est à dire la force, la virilité, une bonne présentation. Mais quand je t'utiliserai sexuellement, tu seras ma poupée, ma femelle. Maintenant, y a-t-il des choses qui te choquent dans ce que je viens de dire ?
 - Je trouve tout cela très clair, Madame, et j'y adhère. Concernant mon zizi, ai-je le droit de le masturber quand je suis chez moi ?
   - Tu peux pour le moment, mais dans ce cas, je t'interdis de penser à moi.
 - Bien Madame.
   - Ce n'est pas définitif, bien sûr. Mais pour le moment, je tiens à ce que l'on procède par étape. De plus,
je serai peut-être amenée à t'imposer des restrictions à titre de punitions, si tes résultats ne sont pas à la hauteur de mes attentes.
 - Compris Madame.
   - As-tu des questions à me poser ?
 - Non, Madame, ce que vous m'avez dit est clair.
   - Tant mieux, seulement je t'ai dit beaucoup de choses ce soir. N'oublie pas que tu as des devoirs à faire le plus rapidement possible dans ton "cahier d'apprentissage". De plus, je t'enverrai un Email demain pour te rappeler ce que nous avons dit. Profites-en pour créer un 2ème cahier que l'on appellera le "cahier des règles à suivre". Tu recopieras les règles à la main, cela t'aidera à t'en souvenir. Bien entendu, tu devras relire ce cahier régulièrement, sans que j'aie besoin de te le dire. Je ferai des contrôles, et tu as intérêt à avoir bien travaillé. Compris ?
 - Oui Madame, j'ai compris.
   - Evidemment, si j'ai oublié des règles, je compte sur toi pour me les indiquer par retour d'Email. Tu attendras alors ma confirmation avant de les recopier dans le cahier.
 - Bien, Madame, je répondrai à votre Email dès réception.
   - Je te souhaite une bonne fin de journée.
 - Vous aussi Madame, et merci pour ce que vous faîtes pour moi.

Une fois le téléphone raccroché, je commence à me détendre.
Je trouve que cela s'est bien passé.
Seulement, je ne sais pas ce qui m'attend maintenant.
Un bon bain me fera le plus grand bien.

Par Soumis à disposition - Publié dans : HISTOIRES : Maîtresse Valérie
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Jeudi 19 août 4 19 /08 /Août 19:32

J'étais au cinéma "Utopia", comme souvent le samedi soir, au Luxembourg.
Les places étant numérotées par rangée et par numéro, je m'assieds à la place indiquée sur le billet qui m'a été remis à l'entrée.

Quelques minutes avant la séance, un couple (du moins je le crois à ce moment) vient s'asseoir sur les sièges à coté du mien. La jeune femme, très brune, la trentaine, assez élégante, se place à coté de moi; tandis que celui qui l'accompagne, plus âgé, les cheveux dégarnis, s'assied un siège plus loin. Leur discussion va bon train, et voilà qu'elle me demande mon opinion sur l'actrice du film (Vanessa Paradis), étant donné qu'elle n'est pas du même avis que son "compagnon". Très neutre ou par solidarité masculine, je vante le physique de l'actrice, et sa
crédibilité en tant qu'actrice. La jeune femme éclate de rire, en affirmant que les hommes préfèrent les garces.
Ce qui me trouble sur le moment, c'est qu'elle appuie avec sa main sur mon avant bras.
Pendant le déroulement du film, j'imagine des scénarios (du genre, partie de jambes en l'air à 3), car je m'emballe probablement assez vite (dans ma tête), et parce que la jeune femme à un ascendant sur son "compagnon".

Le film terminé, je prends volontairement mon temps pour ramasser mes affaires après avoir attendu le retour de la lumière.   
C'est alors qu'elle tourne légèrement la tête vers moi, en souriant un peu ironiquement, et qu'elle me demande si je n'ai pas changé d'avis sur l'actrice.
Assez lâchement, je me range à son avis.

Ce qui me paraît le plus surprenant dans la situation, c'est le "compagnon" qui semble inexistant. Une fois sorti  de la rangée, celui-ci s'éclipse assez rapidement après avoir dit bonsoir à la jeune femme en faisant semblant de ne pas me voir.
De mon coté, l'air faussement gêné, j'explique mon étonnement, croyant qu'ils étaient ensemble (ce qui est d'ailleurs la vérité). Elle me répond que ce n'est pas le cas, sans plus.

Après quelques secondes de silence, je lui propose une boisson dans le bar du cinéma (boisson sans alcool).
Je profite de l'occasion pour lui demander si quelqu'un l'attend.
Après une légère moue, elle accepte l'invitation en me précisant qu'elle n'est pas attendue.
Tout se passe bien jusque là, sauf que je n'avais rien prévu à l'avance, et que je ne suis pas du genre "Don Juan" avec plein de bagou.
J'essaye donc d'alimenter la conversation en lui posant des questions.
Elle ne répond que par des phrases courtes, sans donner l'impression de vouloir m'aider.
J'essaye de paraître décontracté, mais intérieurement, je ne sais pas trop comment m'en sortir.

Finalement, elle me dit que l'endroit n'était pas une très bonne idée.
Cela me vexe, car c'était ma proposition, mais me permet de me sortir de ce qui semble être un mauvais pas.
Elle me propose donc de nous rendre à l'extérieur du cinéma.
J'avoue que c'est une très bonne idée, et j'insiste pour payer les consommations.
Elle me fait alors un grand sourire, et me demande de la rejoindre après les portes.

Lorsque je la rejoins, elle fume une cigarette.
Je me rends rapidement compte que quelque chose à changer.
Désormais, elle prend la direction des opérations.
Elle me demande si ma voiture se trouve au parking, et je lui réponds que je suis venu en transport en commun.

"Parfait, on va boire un verre chez moi, et je vous ramènerai à la gare", dit-elle.
J'accepte évidemment, bien que surpris qu'elle ne me demande pas vraiment mon avis.
Pendant le parcours, elle me parle beaucoup, et ne me demande rien.
Je me sens très en confiance, et j'apprends qu'elle se prénomme Valérie, qu'elle est responsable des achats pour sa boîte, qu'elle parle plusieurs langues, et qu'elle habite à 5 kms de Luxembourg ville.
Elle me laisse entendre qu'elle sort d'une aventure douloureuse.
Elle est charmante, à l'aise, et intelligente.

On arrive sur le parking extérieur au bàs de son immeuble.
Elle me guide vers son appartement, puis me demande ce que je souhaite boire.
Je choisis, un whisky, léger avec glaçons. Elle ramène aussi de l'eau pétillante pour elle.
Pendant que je suis assis sur le divan, à coté de la table où se trouvent les boissons, elle en profite pour se changer légèrement. Elle a une tenue plutôt décontractée, et sexy.

Elle s'assied dans un fauteuil, face à moi, les jambes croisées.
Maintenant, elle me demande de me présenter, car je ne lui ai pas beaucoup parlé de moi.
Cela me remet un peu mal à l'aise, surtout qu'elle me demande si je drague souvent les femmes au cinéma.
Après m'avoir laissé un peu m'empêtrer, elle me dit qu'elle m'apprécie car je ne suis pas un macho.
Elle me reparle de son aventure douloureuse, et me dit que désormais, elle recherche un homme obéissant.
Elle me dit cela en me fixant droit dans les yeux.

J'essaye de ne pas rentrer dans le jeu, en faisant semblant de ne pas comprendre l'allusion évidente à mon égard.

Elle enfonce le clou, et me demande de lui répondre avec franchise si j'ai déjà éprouvé des sensations à l'idée d'être dirigée par une femme, où même si j'ai déjà eu une expérience dans ce domaine.
Elle est très à l'aise dans son rôle, et me précise que pour elle, toute relation doit être basée sur la confiance  réciproque.
Mon coeur bat la chamade, et je me mets à me dévoiler.
Je lui explique qu'effectivement, j'avais parfois des fantasmes de ce genre, et que j'ai fait une expérience avec une professionnelle une fois, mais que je n'ai pas gardé un très bon souvenir.
Lorsqu'elle me demande pourquoi, je lui explique que j'ai ressenti une douleur pendant la pénétration avec un gode, et que je n'aime pas du tout la sodomie.
Elle me donne son point de vue, et me dit que pour elle, la relation doit être progressive, et non pas imposée de cette façon.

Elle me propose alors de me laisser guider par ses soins, si j'accepte.

 - "Je crois que cela me plairait, mais je ne suis pas totalement sûr".

Elle me dit ne pas m'inquiéter, et me demande de lui expliquer comment s'est déroulé mon expérience avec une professionnelle, et quand cela s'est-il produit.

Voici donc l’histoire

               +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
C'était il y a environ 3 ans.
Je dois d'abord expliquer brièvement quelles sont mes attentes (à la professionnelle).
Ensuite, elle me fait attendre à genou dans le salon, les mains sur la tête, en portant seulement un slip, les fesses tournées vers la porte.
Lorsqu'elle revient dans la pièce, elle me parle, et me demande de m'approcher d'elle à 4 pattes.

 - "Tu aimes être un bon chien, je crois ?"
 - "Oui, Madame".
 - "Un gros chien ou un petit chien ?"
 - "Un petit chien, Madame".
 - "Enlève ton slip chien, en restant à 4 pattes".
Ce que je fais.

 - "Marche autour de la pièce, petit chien".
Je commence à avancer.
 - "Remue un peu ces fesses, et cambre-toi".Tu n'es pas fier d'être mon chien ?
 - "Si Madame, c'est un honneur pour moi".

A ce moment, elle me claque la joue très rapidement.
Je ne sens pratiquement rien, mais je suis surpris car je ne l'ai pas vu venir.
 - "Un chien ne parle pas, mais se contente de remuer sa queue quand il est content."
 - ...
 - "Allez, remue ton bassin de gauche à droite, et de droite à gauche. Fais moi remuer cette queue".
J'obéis, et elle se place derrière moi.
 - "Tu imagines un peu le spectacle que tu m'offres ? Je vois ton cul se trémousser, et ta queue se balader dans tous les sens". "C'est très excitant". "Allez, tourne-toi vers moi, petit chien".
Je me retourne, toujours à 4 pattes.
Elle retire sa culotte devant moi, et je vois son sexe.
 - "Tu vas laver ma culotte avec ta salive, cela t'apprendra à m'exciter. Ouvre ta bouche".
Elle rentre sa culotte complètement dans ma bouche, et je dois la nettoyer.

Pendant ce temps là, elle va chercher un gode et du lubrifiant.
Après un petit moment, elle revient et me dit de retirer sa culotte de ma bouche.
Tout en préparant mon anus, elle me demande si j'ai déjà été sodomisé.
Je lui réponds que non.
Elle me répond que maintenant, je vais savoir ce que ressent une femme, quand c'est moi qui la sodomise.
Elle commence à me pénétrer. Cela n'est pas agréable, mais je sens qu'elle y va doucement.
Lorsque le gode pénètre un peu plus, cela commence à me faire mal, et je le lui dis.

 - "Tes fesses ne sont pas suffisamment détendues, je vais les assouplir".
Je dois m'allonger sur ses cuisses, et elle me donne une bonne petite fessée.
Cela n'est pas douloureux, et j'apprécie ce moment.

 - "Mets-toi à 4 pattes, le cul tourné vers moi"
Elle reprend la sodomie, mais cette fois je ressens une douleur lorsqu'elle force le passage.
Je lui dis que j'ai mal et que je préfère arrêter.
On en restera là.
               +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Valérie me remercie pour ma franchise, et me laisse entendre que je ne suis pas totalement novice, car on n'arrive pas chez une professionnelle par hasard. Elle n'insiste pas davantage.
Elle me dit qu'elle ne partage pas le point de vue de la professionnelle concernant la fessée.
Une fessée, cela ne sert pas à faciliter le passage d'un gode.
Pour elle, ce n'est pas à cela que sert une fessée.

Elle me demande ce que j'attends d'une Maîtresse, quelles doivent-être ses principales qualités, et comment je pourrai envisager une relation avec cette Maîtresse idéale.

Je réponds qu'une Maîtresse doit être confiante, et savoir se faire obéir naturellement.
Elle doit prendre du plaisir à diriger son soumis, et celui-ci doit être à l'écoute de sa Maîtresse
pour la servir, et apprécier de se laisser guider.

Elle ne me donne pas son avis sur ma réponse, mais semble satisfaite.

Elle m'indique ensuite, que ce qui l'interresse, ce sont les fesses.
Elle aime que les fesses d'un soumis soit à sa disposition.
Dans le courant de la discussion, elle m'indique aussi qu'elle me giflera.
Je ressens une jubilation de sa part lorsqu'elle me le dit, d'autant qu'elle le fait à la 2ème personne, et non plus à la 3ème, comme jusqu'à présent.

Finalement, elle me fait comprendre qu'elle est satisfaite de m'avoir rencontré, et qu'elle me trouve plutôt ouvert.
Elle préfère en rester là pour ce soir.
Moi aussi d'ailleurs, car j'ai eu beaucoup d'émotions en une soirée.
Elle me demande mon adresse Internet, et je la lui donne.
Elle propose de me ramener à la gare comme convenu, si je ne souhaite pas rentrer par le bus.
Je lui indique que le bus me conviendra très bien.

J’attends maintenant un message de Valérie, en espérant que cela se produira.

Par soumisauluxembourg.erog.fr - Publié dans : HISTOIRES : Maîtresse Valérie
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